PÖEME
Tu ressens toutes les séquelles,
D’une vie éreintée et brisée,
Par le présent et le passé.
Ton sentiment est oppressé,
Par ton envie de tout lâcher,
Et demeure une seule pensée,
Celle de tout abandonner.
Car autour de toi se sont écroulées,
Tes certitudes et ta sécurité.
La vie et ses vicissitudes,
T’ont conduit à la solitude.
Ceux en qui tu faisais confiance,
Et malgré ta vigilance,
Ils t’ont percé de leur lance.
Tu souris aux gens de l’extérieur,
Mais tu cries dans ton for intérieur.
Et une fois à la maison rentré(e),
Les premières larmes commencent à couler.
Est-ce la fin de mes jours ?
Vais-je m’éteindre sans secours ?
Ainsi donc se termine ma vie,
Dans la peine et l’agonie ?
Ainsi fermerais-je les yeux ?
Dans cet état désastreux ?
Avec un cœur en morceaux,
Et l’âme réduite en lambeaux ?
Il a les yeux fixés sur toi.
Il est témoin de tes déboires,
Et ne te laissera jamais déchoir.
Il t’as vu sur cette route,
Remplie de ronces et d’épieux
Il a compté chacune des gouttes,
Jésus ne t’as pas abandonné(e),
Non, il ne t’a pas délaissé(e).
De toi il ne s’est point détourné,
Et il arrive pour te relever.
C’est peut-être dur aujourd’hui,
Mais qui connaît les lendemains ?
Longtemps persiste la nuit,
Même si dure le déclin,
Certainement il cherra,
Car très bientôt se lèvera,
L’étoile brillante du matin.
Personne ne pourra mieux te consoler,
Que celui qui t’a aimé le premier.
Alors même dans la détresse et la galère,
Espère en lui, et persévère.
Rody
Commentaires
Enregistrer un commentaire
Pour ajouter un commentaire, l'identité à sélectionner est ''Nom/URL'', ou ''Anonyme''
Cela vous évitera de vous authentifier à l'aide d'un compte.
Shalom !