PÖEME
S ombres sont ces jours lors desquels, Tu ressens toutes les séquelles, D’une vie éreintée et brisée, Par le présent et le passé. T on sentiment est oppressé, Par ton envie de tout lâcher, Et demeure une seule pensée, Celle de tout abandonner. C ar autour de toi se sont écroulées, Tes certitudes et ta sécurité. La vie et ses vicissitudes, T’ont conduit à la solitude. C eux en qui tu faisais confiance, Ont brisé tes espérances, Et malgré ta vigilance, Ils t’ont percé de leur lance. T u souris aux gens de l’extérieur, Mais tu cries dans ton for intérieur. Et une fois à la maison rentré(e), Les premières larmes commencent à couler. E st-ce la fin de mes jours ? Vais-je m’éteindre sans secours ? Ainsi donc se termine ma vie, Dans la peine et l’agonie ? A insi fermerais-je les yeux ? Dans cet état désastreux ? Avec un cœur en morceaux, E t l’âme réduite en lambeaux ? ...