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Affichage des articles du décembre, 2019

Ôter les barrières à la guérison

Souvent, les problèmes dans le cœur et la vie des enfants de Dieu font barrage à la guérison. Nous pouvons citer sept d’entre eux: (1) l’ignorance de la parole de Dieu (Voir Esaïe 5:13; Osée 4:6); (2) l’incrédulité (Hébreux 3:12–13); (3) le péché non confessé (Proverbes 28:13); (4) le ressentiment et le non pardon envers les autres (Marc 11:25–26); (5) les incursions dans l’occultisme (Exode 23:24–26); (6) les alliances anti-bibliques, comme par ex. la Franc-maçonnerie (Exode 23:31–33); et (7) les effets d’une malédiction (Deutéronome 28:15–68). Parfois, les maladies sont dues ou associées à la présence de mauvais esprits. Regardons un exemple tiré de l’évangile de Luc. «Après le couché du soleil, tous ceux qui avaient des malades atteints de diverses maladies les lui amenèrent. Il imposa les mains à chacun d'eux, et il les guérit. Des démons aussi sortirent de beaucoup de personnes, en criant...»         (Luc 4:40–41) Lorsque la puissance surnaturelle de Dieu se met à l’œu

Il a porté nos maladies

«Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé; et nous l'avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéri.» (Esaïe 53:4–5) Cette traduction n’est pas littérale et par conséquent, des millions de croyants anglophones ont été lésés de leurs droits physiques en Christ. Cependant, le sens correct de ces paroles ne fait aucun doute  «Souffrances»  devrait se traduire par «maladies»;  «douleurs»  devrait se traduire par «souffrances.» Ce sont des termes hébreux de base ayant la même signification aujourd’hui que du temps de Moïse. La Bible est claire sur le sujet: «Il les esprits par sa parole, et il guérit tous les malades, afin que s'accomplît ce qui avait été annoncé par Ésaïe, le prophète: il a pris nos infirmités, et il s'es

Rendre grâces

Le fait de rendre grâces contient un immense potentiel. Non seulement, cela libère la puissance miraculeuse de Dieu, mais quand celle-ci s’est manifestée, les actions de grâces scellent les bénédictions reçues. «Et comme il entrait dans un village, dix hommes lépreux le rencontrèrent ; et ils s’arrêtèrent de loin ; et ils élevèrent la voix, disant, Jésus, maître, aie pitié de nous ! Et les voyant, il leur dit, Allez, montrez–vous aux sacrificateurs. Et il arriva qu’en s’en allant ils furent rendus nets. Or l’un d’entre eux, voyant qu’il était guéri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu à haute voix ; et ils se jeta sur sa face aux pieds de Jésus, lui rendant grâces. Et c’était un Samaritain. Et Jésus, répondant, dit, Les dix n’ont–ils pas été rendus nets ? Et les neuf, où sont–ils ? Il ne s’en est point trouvé qui soient revenus pour donner gloire à Dieu, si ce n’est cet étranger. Et il lui dit, Lève–toi, et t’en va ; ta foi t’a guéri.» (Luc 17:12–19, Darby) Les dix lépreux ont

La guérison et le salut

Regardons quelques passages bibliques où le terme grec de  sozo  est utilisé dans le sens de «salut.» Dans l’évangile de Marc, Jésus a rencontré un aveugle nommé Bartimée, sur la route de Jéricho. (Lire Marc 10:46–52.)  «Jésus, prenant la parole, lui dit: Que veux-tu que je te fasse? Rabbouni, lui répondit l'aveugle, que je recouvre la vue.»  (Marc 10:51). Bartimée, le mendiant aveugle, n’avait qu’une idée en tête. Tout ce qu’il voulait c’était recouvrer la vue, et ce fut le cas. «Et Jésus lui dit, Va, ta foi t’a guéri; et aussitôt il recouvra la vue, et il le suivit dans le chemin.» (verset 52, Darby). La traduction grecque littérale des paroles de Jésus est: ‘ta foi t’a sauvé’. Voilà le salut. En Luc 8:43–48, nous lisons l’histoire de la femme affligée de pertes de sang qui avait suivi et touché Jésus. Elle ne voulait pas être reconnue, cependant, parce que la loi juive disait que toute personne ayant des pertes de sang était impure et n’avait aucun droit de toucher quico

Le salut total

La nouvelle naissance est une expérience dont l’importance est unique en son genre. Si vous n’êtes pas nés de nouveau, vous ne pouvez pas voir le royaume de Dieu, ni y entrer. (Voir Jean 3:3–5.) Néanmoins, il ne s’agit pas d’une expérience unique et momentanée, le salut est plutôt un processus continu. Le baptême fait partie du salut. Je ne veux pas soulever la controverse, mais vous pouvez être nés de nouveau sans être baptisés. Si vous voulez être sauvés cependant, le baptême fait clairement partie du processus, car: « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé»  (Marc 16:16). Etre sauvé signifie bien plus que simplement préparer son âme pour le ciel. Quelqu’un a dit un jour: «le concept évangélique du salut c’est le pré conditionnement de l’âme pour le ciel.» On pourrait dire cela, dans une certaine mesure, mais le salut implique bien plus que les préparatifs en prévision du ciel. Je voudrais examiner le passage du Nouveau Testament dans lequel l’auteur a utilisé le mot

Echapper à la malédiction

Si vous cherchez à être libérés d’une malédiction, l’une des nécessités principales est de confesser tout péché afférent dont vous ayez connaissance, commis par vous-mêmes ou vos ancêtres, car, en tant que leur descendant, il se peut que ce soit le péché de vos ancêtres qui vous a exposé à la malédiction. Cependant, vous ne portez pas la  culpabilité  de leur péché, vous  souffrez de ses conséquences . Afin d’échapper à la malédiction, vous devez vous occuper du péché qui vous y a exposés, vous ou vos ancêtres. Vous y procéderez en confessant le péché en question et en demandant à Dieu de le pardonner et de l’effacer. Proverbes 28:13 dit:  «Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, Mais celui qui les avoue et les délaisse obtient miséricorde.»  Si vous cachez votre péché, vous ne prospérerez pas ni ne serez bénis. Cependant, si vous confessez votre péché et l’abandonnez, alors vous obtiendrez miséricorde et rédemption pour ce péché. De nouveau, vous devez pardonner à tout

Se souvenir de ses bienfaits

«Mon âme, bénis l'Éternel! Que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom! Mon âme, bénis l'Éternel, Et n'oublie aucun de ses bienfaits!» (Psaume 103:1–2) Nous voyons ici que l’esprit de David dit à son âme ce qu’elle doit faire. L’esprit de David savait ce qu’il fallait faire, mais il ne le pouvait pas sans que son âme coopère avec lui pour relever le défi. Enumérons brièvement les bienfaits que nous ne devons pas oublier. Beaucoup de chrétiens ne jouissent pas de ces bienfaits parce qu’ils ne s’en souviennent plus. Dans les versets suivants, on trouve une liste de six bienfaits de Dieu: «C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités ; qui guérit toutes tes infirmités; qui retire ta vie de la fosse; qui te couronne de bonté et de compassion; qui rassasie ta bouche de biens, tellement que ta jeunesse est renouvelée comme celle de l’aigle.»  (Versets 3–5, version Ostervald) Dieu pardonne nos iniquités, guérit nos maladies, délivre notre vie de la destruction, n

Pardonnés comme nous pardonnons

Dans le Sermon sur la montagne, Jésus nous a appris à prier:  «pardonne-nous nos offenses,  , comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés  » (Matthieu 6:12). Autrement dit, cette pétition signifie: «pardonne-nous comme nous pardonnons.» Rappelez-vous que Dieu vous pardonnera dans les mêmes proportions où vous pardonnez aux autres. Si vous pardonnez entièrement aux autres, Dieu vous pardonnera entièrement. Mais si vous ne pardonnez qu’en partie, Dieu ne vous pardonnera qu’en partie. L’une des raisons majeures pour lesquelles beaucoup de chrétiens ne reçoivent pas de réponse à leur prière est leur manque de pardon envers les autres, souvent une personne en particulier. Au cours de mon expérience de conseiller, j’ai compris que le manque de pardon était une source de blocage tout à fait commune dans leur vie spirituelle. Un jour j’ai demandé à une femme que je conseillais: «Y a-t-il quelqu’un à qui vous n’avez pas pardonné?» Elle a répondu «Oui» et m’a spécifié le n

La guérison par le pardon

«Heureux l'homme à qui l'Éternel n'impute pas d'iniquité, Et dans l'esprit duquel il n'y a point de fraude.»            (Psaume 32:2) Pour recevoir le pardon, nous devons être absolument honnêtes envers Dieu, ne pas couvrir ni excuser nos péchés, ni retenir quoi que ce soit. En référence à la reconnaissance de sa culpabilité pour avoir commis l’adultère et le meurtre dans l’affaire de Bethsabée, David continue son Psaume: «Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, je gémissais toute la journée; car nuit et jour ta main s'appesantissait sur moi, ma vigueur n'était plus que sécheresse, comme celle de l'été. Je t'ai fait connaître mon péché, je n'ai pas caché mon iniquité; j'ai dit: J'avouerai mes transgressions à l'Éternel! Et tu as effacé la peine de mon péché.»   (Versets 3–5) Comme beaucoup de monde, David avait refusé d’admettre son péché et avait tenté, en le dissimulant, de prétendre qu’il n’avait jamais eu lie

Notre besoin de pardon

Ce qui rend la notion de pardon si belle et particulière? Eh bien, réfléchissez à certains des résultats qui en découlent: la réconciliation, la paix, l’harmonie, la compréhension, la communion fraternelle. Ou bien, considérez les conséquences qui découlent de notre manque de pardon: l’amertume, la discorde, la désharmonie, la haine, la guerre. Parfois, il semble que l’humanité est en danger d’être submergée par ces forces négatives et mauvaises. Nous ne pouvons échapper à ce terrible sort que si nous apprenons et appliquons les principes du pardon. Souvenons-nous que la Bible nous présente le pardon comme ayant deux directions. Elles sont bien représentées par le symbole de notre foi chrétienne, la croix, qui est composée de deux morceaux de bois, l’un à la verticale et l’autre à l’horizontale. Ces bois symbolisent les deux directions du pardon: le vertical représente le pardon que nous recevons de Dieu et l’horizontal celui que nous devons recevoir des autres et donner aux autre

Racheté!

Sur la croix, Jésus a été identifié à tout le mal que nous avons fait. En retour, nous avons totalement été pardonnés et délivrés du pouvoir du mal. «En lui   nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce»  (Ephésiens 1:7).   Lorsque nous avons le pardon des péchés, nous avons la rédemption, nous avons été rachetés.  Racheter  signifie le «rachat» ou le «paiement en échange d’une rançon». En payant de son sang, offert en sacrifice à notre place, Jésus nous a rachetés à satan pour Dieu. En Romains 7, Paul dit une chose qui n’est pas toujours claire pour ceux qui ne sont pas familiarisés avec le contexte culturel de son temps:  «moi, je suis charnel, vendu au péché.»  (Verset 14). Sachez que cette expression  «vendu au péché»  se place dans le contexte du marché aux esclaves romain. Quelqu’un qui était vendu comme esclave devait se tenir sur une sorte d’estrade avec une lance étendue au-dessus de sa tête, fichée dans un poteau derri

Puni pour notre paix

Le Seigneur n’abandonnera pas son peuple. Je pense que Dieu demande à ceux qui croient en lui d’avoir du répondant par rapport à ce qu’il fait en Israël et au Moyen-Orient. Nous ne pouvons pas nous permettre de rester neutres, apathiques ou indifférents. Dieu nous demande de réagir. Dans le livre de Jérémie, le prophète nous dit ce que Dieu nous commande de faire: «Poussez des cris de joie sur Jacob, Éclatez d'allégresse à la tête des nations! Élevez vos voix, chantez des louanges, et dites: Éternel, délivre ton peuple, le reste d'Israël!» (Jérémie 31:7) Dans la version Bible de Jérusalem nous lisons,  «Criez, acclamez, faites–vous entendre! Louez! Proclamez!»  (verset 7). En combinant ces deux versions, je trouve ici cinq réactions que Dieu attend de nous. Dans un sens, elles sont toutes vocales: chanter, pousser des cris, louer, proclamer et dire (ou prier). A quoi devons-nous réagir? Au rassemblement du reste de Jacob. A qui ce commandement est-il adressé? A l’

Dieu exige une réaction

Le Seigneur n’abandonnera pas son peuple. Je pense que Dieu demande à ceux qui croient en lui d’avoir du répondant par rapport à ce qu’il fait en Israël et au Moyen-Orient. Nous ne pouvons pas nous permettre de rester neutres, apathiques ou indifférents. Dieu nous demande de réagir. Dans le livre de Jérémie, le prophète nous dit ce que Dieu nous commande de faire: «Poussez des cris de joie sur Jacob, Éclatez d'allégresse à la tête des nations! Élevez vos voix, chantez des louanges, et dites: Éternel, délivre ton peuple, le reste d'Israël!» (Jérémie 31:7) Dans la version Bible de Jérusalem nous lisons,  «Criez, acclamez, faites–vous entendre! Louez! Proclamez!»  (verset 7). En combinant ces deux versions, je trouve ici cinq réactions que Dieu attend de nous. Dans un sens, elles sont toutes vocales: chanter, pousser des cris, louer, proclamer et dire (ou prier). A quoi devons-nous réagir? Au rassemblement du reste de Jacob. A qui ce commandement est-il adressé? A l’

Un Dieu d’alliance

Le Seigneur n’abandonnera pas son peuple. Dans le Psaume 89:34, Dieu dit: «Je ne violerai point mon alliance et je ne changerai pas ce qui est sorti de mes lèvres.» Il est d’une importance capitale que nous comprenions bien que, lorsque Dieu fait une alliance, il ne la rompra jamais. Nous devons savoir cela. Notre Bible consiste en deux alliances: l’ancienne et la nouvelle. Par conséquent, l’essence de la révélation divine est axée sur le principe de l’alliance. Si Dieu devait briser son alliance, nous n’aurions aucun espoir. J’ai la conviction personnelle que si Dieu devait briser son alliance avec Israël, nous n’aurions aucune raison de croire qu’il ne briserait pas celle qu’il a avec l’Eglise. Vous pouvez dire: «Oui, mais Israël a trahi Dieu» Cela ne fait aucun doute. Mais, honnêtement, pourriez-vous dire que l’Eglise n’a pas trahi Dieu? Je suis incapable de me placer du point de vue de Dieu, mais selon ma compréhension limitée, je vois Israël recevoir une alliance et échouer l

La faveur sur Sion

Le Seigneur n’abandonnera pas son peuple. Le Seigneur dit que le rassemblement d’Israël de nos jours est une bannière qu’il élève pour les nations. Les événements d’aujourd’hui en Israël et au Moyen-Orient sont au centre de l’attention mondiale et de la couverture médiatique. Cette période du rassemblement de la fin des temps était clairement indiquée sur le grand calendrier prophétique de Dieu il y a trois mille ans. Voici l’un des passages qui en parle: «Tu te lèveras, tu auras pitié de Sion; car le temps d'avoir pitié d'elle, le temps fixé est à son terme; car tes serviteurs en aiment les pierres, ils en chérissent la poussière. Alors les nations craindront le nom de l'Éternel, et tous les rois de la terre ta gloire. Oui, l'Éternel rebâtira Sion, il se montrera dans sa gloire. …. Que cela soit écrit pour la génération future, et que le peuple qui sera créé célèbre l'Éternel! (Psaume 102:13–16, 18) Le temps de la miséricorde et la faveur de Dieu envers Sion